Floriane ZANELLA (Prépa BL1)

Floriane ZANELLA (Prépa BL)

PPourquoi avez-vous fait le choix d’une prépa BL ?

Je voulais une formation de haut niveau et cadrée (donc une classe préparatoire), qui me permette de maintenir un large choix de poursuites d’études (donc une BL). Intéressée par tous les domaines de connaissances, ayant un « profil littéraire » mais ne pouvant pas me résoudre à abandonner les maths après un bac scientifique, j’ai su que la pluridisciplinarité de la BL était faite pour moi.

Et pourquoi Stan ?

Stanislas était un des deux seuls établissements proposant la formation BL dans la région, et je voulais rester proche de chez moi. Mais au-delà de ça, ce sont les visites que j’ai pu faire de l’établissement qui m’ont convaincue (cadre de travail agréable, internat, infrastructures, discours des professeurs…).

Comment avez-vous vécu la rentrée et la transition entre élève de lycée et étudiant de prépa ?

C’était une transition difficile à réaliser, car tout était nouveau (établissement, mode de travail, mode de vie, amis, professeurs…) mais j’ai été très bien accompagnée, dans la bienveillance et cette rupture s’est passée en douceur pour moi.

Comment vivez-vous la prépa à Stan ?

Très bien ! J’avais clairement sous-estimé l’épanouissement que pourrait m’apporter cette formation. Outre le plaisir d’apprendre et dans de bonnes conditions, l’ambiance de classe y est pour beaucoup : on se serre les coudes, et on relève les défis de la BL ensemble, loin d’être en compétition.

Par ailleurs, je me sens bien à l’internat, qui renforce cette cohésion de groupe et offre selon moi un cadre de vie (et de travail) optimal.

Que projetez-vous de faire à l’issue de la prépa BL ?

Je n’ai pas encore de projet précis (ce qui m’a amenée en BL), mais je suis pour l’instant attirée par les formations de type universitaire (ENS, ENSAI, études de langues…), dans la recherche ou l’enseignement.

Quels conseils donneriez-vous à un étudiant intégrant la prépa BL l’année prochaine ?

Avant la rentrée, il faut se mettre dans une certaine « condition mentale » (motivation, détermination à progresser malgré les difficultés, capacité à relativiser…) et pas négliger le temps disponible pour « se préparer à la prépa » (lectures, bases solides de terminale, devoirs de vacances) Une fois que l’année a débuté, il faut prendre plaisir à cette ouverture aux connaissances que représente la formation, tout en gardant toujours sa personnalité dans ce que l’on fait.

Un dernier message ou commentaire ?

Pour moi, il faut garder à l’esprit que la prépa, c’est un vrai challenge pour tout étudiant, mais c’est surtout une expérience humaine incomparable (solidarité et émulation entre les élèves, connaissance de soi…). Quelle que soit la suite des études, ces deux ans ne seront jamais « perdus ».

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