Clément DIGOIN (prépa BL)
Pourquoi avez-vous fait le choix d’une BL ?
La BL était la prépa la plus généraliste et je voulais aborder beaucoup de matières très différentes. C’était aussi un choix qui m’ouvrait le plus de portes à l’issue. J’avais déjà une idée de ce que je voulais faire mais cela m’offrait d’autres opportunités au cas où.
Et pourquoi Stan ?
Je voulais une prépa de proximité et un internat. Il était important pour moi d’avoir à la fois mon indépendance mais également de rester proche de mes parents. J’ai pensé la prépa comme une étape entre le fait de vivre chez mes parents pendant le lycée et être indépendant durant mon parcours en Grande Ecole.
Comment avez-vous vécu la rentrée et la transition entre élève de lycée et étudiant de prépa ?
J’appréhendais un peu. La prépa est un univers différent. Au début, cela a même été un choc... mais au bout de 3 semaines-1mois, on prend le rythme de la prépa. La chance à Stan c’est d’avoir une équipe pédagogique qui est très proche de nous et nous aide à bien rentrer en prépa.
Comment vivez-vous la prépa à Stan ?
Contrairement à ce que je pensais, je vis la prépa plutôt bien. C’est vrai qu’on travaille beaucoup plus qu’au Lycée. Je travaille beaucoup la semaine et je décompresse un peu le WE. Mais on vit bien la prépa car l’environnement est bon et on est bien entouré. La très bonne dynamique d’entraide, de soutien et la vie à l’internat aident beaucoup.
Que projetez-vous de faire à l’issue de la prépa ?
Mon rêve serait d’être pris à l’ENS ULM, d’obtenir l’agrégation et devenir enseignant en histoire. Sinon, des parcours à l’IEP Paris ou à l’Université sont aussi très intéressants. Rien n’est encore figé.
Quels conseils donneriez-vous à un étudiant intégrant la BL l’année prochaine ?
Premier conseil : pendant les vacances d’été, commencez à travailler et faire avec application les travaux d’été demandés. Cela permet de ne pas rater le départ !
Deuxième conseil : mettez-vous « dans le bain » tout de suite et cherchez très vite à trouver votre méthode et organisation de travail (en écoutant les conseils…). Il faut voir la prépa « comme un jeu » où on doit chercher en permanence à progresser et surtout à se surpasser.
